Hachemi Si-Tayeb

Lecture iconographique de la filière laitière à Fréha en Kabylie. Un écosystème, des moyens techniques et une société

Enseignant-chercheur, Sciences agronomiques, Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, Algérie.

L’élevage bovin dans la région de Kabylie (Tizi-Ouzou, Algérie) existe depuis fort longtemps. Quant à la région de Fréha, située à 30 Km de Tizi-Ouzou au Nord-est de l’Algérie, elle est connue pour sa vocation agricole et en particulier pour son élevage bovin laitier. Néanmoins, ce dernier est caractérisé par la dominance de petites exploitations qui élèvent des troupeaux de petites tailles dans une zone de montagne pauvre en sol. Tributaire des conditions climatiques, l’élevage est présenté aujourd’hui, dans cette région, par un potentiel de production jugé important. Cependant, le niveau de la conduite technique de cet élevage est encore faible. Dans son fonctionnement global, le système de cultures, dont la jachère, procure des services à l’élevage et inversement.

Dans les cas où il est possible de mobiliser de l’eau d’irrigation et de pratiquer l’élevage bovin, le dynamisme de l’agriculteur peut conduire à une certaine diversification des systèmes de production. Cependant, la production agricole n’est pas basée sur la recherche de performances de rendement, mais plutôt sur des stratégies de production agricole durable.

En effet, cet élevage se trouve confronté à de multiples obstacles comme l’indisponibilité de fourrages, le non-respect des normes d’hygiène et une dépendance plus ou moins grande envers les approvisionnements en aliment de bétail.

Il existe dans cette région deux types d’élevage bovin. Le premier, est l’engraissement. Il consiste à acheter des veaux, à les alimenter pour les revendre au bout de quelques mois. Ce « business » présente plusieurs avantages, notamment la simplicité de son fonctionnement et des marges bénéficiaires importantes. « Le gain net qu’on peut réaliser sur une période n’excédant pas sept mois est de l’ordre de 60 000 Dinars par tête », affirme un éleveur dans la région de Fréha. En effet, il n’est pas nécessaire de posséder des terres, du moins au début, pour cultiver les aliments ni des pâturages pour faire sortir les vaches. Celles-ci doivent se déplacer le moins possible pour conserver leur poids. Une étable dans la périphérie d’une ville suffit pour démarrer. Pour un troupeau de 15 têtes, il faut compter une superficie de 80 m². Le deuxième type d’élevage est celui des vaches laitières. Il consiste à exploiter un troupeau de vaches pour la production de lait et la vente des veaux nouveau-nés. L’élevage laitier est plus complexe que l’élevage d’engraissement. Il demande plus de temps de travail et nécessite des installations plus sophistiquées, et donc un investissement plus lourd pour un moindre bénéfice.

L’activité démarre avec l’acquisition des vaches soit dans des fermes soit dans les souks. « Pour les personnes n’ayant pas une grande expérience dans l’élevage, il vaut mieux se contenter d’acheter à un poids compris entre 200 et 250 kg et de revendre dès que les 400 ou 450 kg sont atteints », confie un autre éleveur de Fréha. Ainsi, pour l’acquisition d’une quinzaine de vaches à l’état de santé satisfaisant, pesant 200 à 250 kg environ, la mise est de près de 210 000 DA (1300 euros), à raison de 14 000 DA (120 euros) par tête.

Contexte

La région de Fréha, considérée comme un bassin laitier, a connu une évolution significative de son cheptel bovin laitier estimé actuellement à 40 477 têtes détenues par plus de 1 200 éleveurs concentrés pour la plupart dans la basse vallée du Sébaou, allant de Tademaït à Fréha. Cet accroissement est le résultat d’une multitude de facteurs : le programme étatique de développement de la filière lait, les primes publiques incitatives à la production, la collecte et la transformation du lait. Néanmoins, les récentes mesures sur la filière lait n’ont pas encore réussi à impulser une réelle dynamique de la filière en raison d’une faible prise en compte des réalités locales. D’autres facteurs ont concouru à cette production laitière. On peut citer le développement désordonné ou l’accélération de la transformation économique du secteur laitier local et l’hétérogénéité socioéconomique des acteurs de la production.

Tout un engouement pour l’élevage de vaches laitières est perceptible dans notre zone d’étude suite au dispositif d’accompagnement mis en place par l’État, à partir des années 2000. La prime octroyée aux éleveurs, en 2000, pour la production du lait cru et vendu aux unités de transformation est passée de 5 DA par litre à 7 DA le litre à partir de l’année 2005. Une prime de 4 DA par litre livré à l’usine est accordée aux collecteurs-livreurs. L’éleveur qui livre son lait à une unité de transformation est encouragé avec 7 DA par litre de lait. Le transformateur reçoit en guise d’encouragement une prime de 2 DA par litre de lait cru réceptionné. Enfin, pour inciter à l’amélioration de la qualité du lait livré, le prix payé au producteur est bonifié de 0,50 DA par gramme de matière grasse, appliquée selon un seuil de 34 grammes par litre.

De nombreux acteurs interviennent dans la filière lait. D’abord, les éleveurs qui produisent du lait et qui sont intégrés à la filière laitière nationale. Leur produit agricole (le lait) est valorisé par les laiteries pour satisfaire les besoins de consommation de l’Algérie en lait et produits laitiers estimés à plus de 3 milliards de litres/an. La qualité hygiénique du lait cru est un sujet relativement récent pour les acteurs de la filière lait. Les maladies, ajoutées aux déséquilibres alimentaires au sein des troupeaux laitiers, pénalisent quantitativement et qualitativement la production et affectent de la sorte la rentabilité des exploitations. Toutefois, les élevages sont conduits et renforcés par l’utilisation du matériel tel que les cuves et les chariots trieurs, les produits d’hygiène et l’aliment de bétail.

Les collecteurs récupèrent le lait auprès d’un nombre élevé d’éleveurs (possédant des troupeaux de petite taille). Mais, l’atomicité et la diversité des élevages rendent difficile l’organisation technique de la collecte du lait. Elles impliquent, également, le comportement opportuniste adopté par certains éleveurs quant à la qualité du lait livré aux laiteries. La filière lait reste déstructurée, avec un taux de collecte frôlant les 20% de la production, par une inadaptation du système de collecte conjuguée à une extraversion des laiteries (utilisation de la poudre de lait).

 Les laiteries permettent de valoriser le lait local, de créer des emplois, de procurer aux éleveurs un revenu régulier. Elles ont incité les producteurs à modifier leur conduite d’élevage afin de produire plus de lait toute l’année. Elles produisent du lait frais pasteurisé, du lait caillé, des fromages, etc. avec des capacités de 25 000 litres par jour, en moyenne. Ils sont une dizaine dans la région. Les laiteries sont nées avec la mise en place du bassin laitier et la diffusion de la technique de la stabulation.

Les photos ici recueillies dans la région de Fréha, en Kabylie, durant les années 2012 et 2013, traduisent les différentes activités humaines liées à l’élevage bovin, aux activités diverses relatives à la collecte et à la production laitière. La lecture iconographique d’une activité agricole, aussi ancienne soit-elle, explore à travers l’image un sens ethnographique et sociologique d’une réalité humaine et sociale en transformation.

Quelques indicateurs agricoles structurels dans la wilaya de Tizi-Ouzou

Une morphologie laissant apparaître six grands ensembles naturels avec potentiel foncier agricole limité


Figure 1 : Carte des zones homogènes

Un espace montagneux (230 793 ha) : avec 80% des terres en pente supérieure à 12 % et une activité agricole sylvo-agro-pastoral.

    • Massif côtier d’Azeffoun (37 300 ha soit 13%)
    • Collines de Grande Kabylie (71 300 ha soit 24%)
    • Massif de Grande Kabylie (96 063 ha soit 32%)
    • Chaine de Djurdjura (26 130 ha soit 9%)
    • Plaine (65 000 ha) : vocation agricole
    • Vallée de l’Oued Sébaou (50 000 ha ; soit 17%)
    • Dépression de Draa – El – Mizan (15000 ha soit 5%)
Figure 2 : vue générale de la région de Fréha.

Figure 2 : vue générale de la région de Fréha.

Caractéristiques générales de l’élevage bovin

Le cheptel bovin représente l’amont de deux filières distinctes : la filière lait et la filière viandes rouges issues des troupeaux bovins laitiers, allaitants et d’embouche.

Il est classé en 3 catégories selon sa constitution (races locales, races améliorées et modernes ou exogènes) et son mode d’exploitation (intensif, semi intensif ou extensif) :

      • Le Bovin laitier moderne (BLM) constitué de races importées et exploitées en intensif, le plus souvent en « hors sol ».
      • Le Bovin local (BL) constitué de populations bovines locales et exploitées en extensif (bovin allaitant).
      • Le Bovin laitier amélioré (BLA) constitué de races améliorées par divers croisements et exploitées en semi-intensif.

Un écosystème fragile

En Kabylie, le climat se distingue par une influence marine au Nord et par une tendance continentale subdésertique provenant du Sud. Elle est sous l’influence du climat méditerranéen. Celui-ci est caractérisé par la sécheresse de la saison estivale (sécheresse totale de juin à septembre) et des hivers très humides avec des précipitations irrégulières interannuelles. En Kabylie, l’hétérogénéité topographique et l’action anthropique ont imprimé au paysage végétal à caractère très morcelé, lequel se présente sous une mosaïque très complexe.

La vallée de Sébaou (Tizi-Ouzou altitude 220 m et Fréha altitude 155 m) est une dépression allongée et évasée sur une longueur de 30 km, avec une largeur qui varie entre 0,8 et 3 km. Elle est drainée par l’oued Sébaou, principal cours d’eau de grande Kabylie. Elle reçoit une moyenne de précipitations de 760 mm/an avec une période pluvieuse de cinq mois : novembre, décembre, janvier, février et avril ; soit plus de 70% des précipitations annuelles et une période sèche qui s’étale de mi-mai à mi-octobre.

Fréha est une commune de la daïra d’Azazga, composée de 23 villages, située à 31 Km à l’est de la ville de Tizi-Ouzou. Zone des bas piémonts, d’une pluviométrie supérieure à 600 mm d’eau par an et avec une pente des terrains comprise entre 3 % et 12,5%. Le bassin laitier de Fréha est composé de petites plaines longeant l’Oued Sébaou des communes d’Azazga, Fréha, Ouaguenoun, Aït-Aissa-Mimoun, Sidi-Naamane, Makouda, Irdjen, et Tizi-Rached qu’on nomme communément Azaghar.

Cette zone représente 4,6% de la superficie totale de la wilaya, sachant que la Superficie agricole utile (SAU) de la subdivision Fréha est de 6 788,02 ha. Le cheptel de vaches laitières a connu une progression de l’effectif, passant de 7 210 têtes en 2002 à 16 032 têtes en 2012. Fréha concentre 48,5% du cheptel bovin laitier, suivie de Timizert avec 36,1% et d’Aghribs avec 15,4%.

Cette position sur le versant occidental du Sébaou (principal cours d’eau temporaire) se traduit par un relief vigoureux et par un climat sec. Avec près de cinq à huit mois sans pluie, cette sécheresse constitue une contrainte majeure pour la production laitière, puisque produire du lait tous les jours suppose de disposer quotidiennement de fourrages.

Les bâtiments d’élevage et le matériel pour la collecte du lait

Les normes de l’élevage laitier précisent, en matière de construction, qu’il faut disposer d’un espace de 6 à 7 m² par tête. L’étable nécessaire pour accueillir 15 vaches doit donc avoir une superficie de 100 m². Il faut compter également près de 100 m² supplémentaires pour la construction d’un hangar pour le stockage des aliments, d’une étable pour les veaux nouveau-nés et un secteur qu’il faut doter aussi de techniques de production modernes qui réduisent les charges et améliorent la qualité et la productivité.

Les bâtiments

Le matériel

 

Les difficultés

Conclusion

Les structures sociales traditionnelles kabyles face à la logique économique de la filière laitière : ni contradiction, ni complémentarité.

Les exploitations agricoles enquêtées, sont des entreprises familiales fragiles parce qu’elles obéissent à des logiques non économiques. En générale, la production laitière provient des petites exploitations traditionnelles d’une multitude de petits agriculteurs produisant du lait. Ceux-ci détiennent des troupeaux bovins laitiers de petite taille, 2 à 5 vaches par éleveur en moyenne.

Les relations d’échange entre les acteurs de la filière laitière rencontrés prennent souvent la forme d’engagements contractuels oraux qui donnent l’impression d’être moins obligeantes et peuvent être modifiés plus facilement. De plus, la collecte auprès des éleveurs n’ayant pas une attestation sanitaire, donc non soumis aux contrôles, est source de produits présentant un risque (maladies, taux de germes). Le circuit informel est largement prépondérant, car c’est par lui que transite l’essentiel du lait. Les collecteurs sont confrontés pendant l’hiver à la baisse de la production laitière ce qui les oblige à s’adonner à d’autres activités (commerce, transport) ou à élargir leurs tournées. Au printemps et au début d’été, périodes de forte lactation, ils sont confrontés au problème de fermentation du lait durant le transport.

Face à la fragilité de l’amont agricole, cette entreprise est à la merci des accidents et des choix économiques et sociaux de la famille. En effet, un mariage, un décès, une émigration, une maladie dans la famille affecte toute l’entreprise d’élevage jusqu’à l’abandon de l’activité elle-même. Une maladie d’une bête peut davantage pousser l’éleveur à la vente de sa vache et à l’abandon momentané ou définitif de son activité d’éleveur plutôt qu’à prodiguer des soins. Aussi, l’augmentation des prix, suite à l’inflation et aux retards dans le payement des subventions, peut ainsi décourager et décider l’éleveur à arrêter facilement sans dommages, sans regrets. Car, ne représentant qu’une activité d’appoint, elle ne bouleverse pas les finances de la famille.

Cette situation affecte également l’activité de collecte. Car la dispersion des éleveurs, en petites exploitations localisées dans des tribus et des villages espacés, augmente le coût de la collecte ainsi que la dépendance des collecteurs de plusieurs éleveurs. Donc, la fluctuation des situations des familles des éleveurs affecte l’activité de collecte. Elle prend beaucoup de temps, use les moyens de transport, utilise plus de gasoil, nécessite beaucoup de patience et de l’information de chaque éleveur afin d’éviter les imprévus. Les laiteries et la filière toute entière en sont alors affectées.

L’État, en encourageant tout, sans prise en compte des réalités socioéconomiques des entreprises familiales, n’aide pas à intensifier l’activité, à la rendre durable et intégrée dans une logique industrielle. Au contraire, ces entreprises d’élevage œuvrent dans une logique artisanale et occasionnelle.

Plus encore, la stabilité de ce dispositif est fragilisée par les incertitudes liées à la saisonnalité de la production et à la qualité des produits. En effet, la collecte rencontre plusieurs problèmes liés au manque d’hygiène de la traite, aux coûts de collecte et à la qualité bactériologique médiocre. Les difficultés sont aussi renforcées par la dépendance des élevages bovins laitiers de la cherté des fourrages et de l’alimentation du bétail. Elle dépend aussi des arbitrages opérés entre autoconsommation, allaitement des veaux et vente de lait au niveau des ménages.

Les prix ne sont pas définis en fonction des coûts de production. En mal d’alternatives, ces mesures incitatives ont produits des transformations et des mutations dans les comportements paysans qui obéissent à une logique d’intérêt étrangère à la logique et aux intérêts économiques de la filière elle-même.

La production de lait, surtout de vache, est une filière importante en Algérie. L’État, lui consacre annuellement plus de 46 milliards de DA sous formes de différents soutiens et encourage la production locale dans le but notamment de réduire la facture d’importation.

Tout un engouement pour l’élevage de vaches laitières est perceptible dans notre zone d’étude suite au dispositif d’accompagnement mis en place par l’État à partir des années 2000. La prime octroyée aux éleveurs, en 2000, pour la production du lait cru et vendu aux unités de transformation est passée de 5 DA par litre à 7 DA à partir de l’année 2005. Une prime de 4 DA par litre livré à l’usine est accordée aux collecteurs livreurs. L’éleveur qui livre son lait à une unité de transformation est encouragé avec 7 DA par litre de lait. Le transformateur est encouragé avec une prime de 2 DA par litre de lait cru réceptionné.

Les différentes mesures doivent renforcer l’intégration du secteur de la transformation à la production de lait cru. L’intégration établie devrait permettre aux unités de transformation de mieux contrôler leur approvisionnement en lait sur les plans de la quantité et de la qualité et permettre une amélioration des revenus des éleveurs. Mais, devant l’insécurité foncière et la faiblesse des revenus du paysan, cela décourage l’entrepreneuriat et ne permet aucune visibilité à long terme.

Bibliographie

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Hachemi Si-Tayeb
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